Les meilleures assurances-vie

Face à une mer d’options d’assurance vie, il peut être ardu de distinguer laquelle est la meilleure pour vous. Que vous recherchiez la tranquillité d’esprit, une protection financière pour vos proches ou simplement la meilleure affaire, nous sommes là pour vous aider.

Dans ce comparatif, nous décomposons les offres des principaux fournisseurs, soulignons les points clés à considérer et partageons des astuces pour vous assurer de prendre une bonne décision. Parce que votre vie mérite une assurance qui lui ressemble, embarquez avec nous dans cette aventure pour trouver le plan parfaitement adapté à vos besoins.

logo-fortuneo
Linxea Spirit 2
  • Versement initial : dès 500€
  • Versements suivants : dès 100€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% d'arbitrage
  • SPCI et SCI
  • OPCI
  • ETF
i
logo-fortuneo
Alta Profits Vie
  • Versement initial : dès 300€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% frais d'arbitrage
  • Gestion pilotée
  • SCI/SCPI
  • ETF
i
logo-fortuneo
Linxea Avenir 2
  • Versement initial : dès 500€
  • Versements programmés : dès 250€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% d'arbitrage
  • SPCI et SCI
  • OPCI
  • ETF
i
logo-fortuneo
Yomoni
  • Versement initial : dès 1000€
  • Versements suivants : dès 50€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% d'arbitrage
  • ETF
  • Gestion pilotée
i
Voir l'offre


Jusqu'à 350€ offerts

logo-fortuneo
Ramify
  • Versement initial : dès 1000€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% frais d'arbitrage
  • Gestion pilotée
  • SCI/SCPI
  • ETF
i
logo-fortuneo
Goodvest
  • Versement initial : dès 300€
  • 0% frais d'entrée
  • 0% frais d'arbitrage
  • Gestion pilotée
  • ETF
i

Choisir son assurance-vie : nos conseils

De nombreux critères sont à prendre en considération au moment de choisir une assurance-vie. Sachant qu’il n’existe pas de solution d’épargne idéale pour tous les profils d’investisseurs. Le contrat que vous choisirez dépendra de vos objectifs financiers, de votre tolérance au risque, de vos préférences techniques (certains privilégieront un plateforme 100% en ligne ; d’autres s’attacheront à la présence d’une succursale terrestre). 

Dans tous les cas, il ne faut pas signer hâtivement. Il vaut mieux mettre en balance tous les paramètres. Des paramètres dont notre équipe tient compte au moment d’élaborer chaque publication. Mais quels sont-ils, justement ? 

Avant de répondre plus précisément à cette question, rappelons quelques fondamentaux.

Qu’est-ce qu’une assurance-vie ? Une définition moderne

Une assurance-vie, selon la définition française, est un produit d’épargne et de placement. Contrairement à ce que l’on pourrait penser lorsqu’on connaît mal ce domaine, il ne s’agit pas uniquement de débloquer une somme destinée aux proches lorsqu’un décès survient. Les contrats peuvent couvrir un bien plus large éventail de situations. 

L’objectif principal est de valoriser son capital, selon une temporalité qui va du moyen au long terme. Selon les modalités retenues, ce capital se trouve plus ou moins exposé. Certains épargnants préfèrent la stabilité ; d’autres priorisent la fructification – avec tous les risques que cela comprend. 

À l’origine d’une assurance-vie, il y a donc toujours une étape de contractualisation. L’assuré s’engage alors à verser des primes. Les primes en question, à des degrés variables, seront réinjectées dans une batterie de produits financiers. 

Pourquoi souscrire à une assurance-vie en 2024 ?

Avant même d’identifier un contrat, certains souscripteurs potentiels se demandent dans quelle mesure cette épargne présente un intérêt. 

Les Françaises et Français qui décident de franchir le pas le font généralement pour les raisons suivantes :

  • Ils anticipent leur retraite, selon le principe de la rente viagère. Même si le PER reste le levier principal à cet égard, l’assurance-vie présente des spécificités attractives selon les profils.
  • Ils cherchent à soigner, à encadrer la transmission de leur patrimoine. Si tout se déroule au mieux, signer ce genre de contrats contribue à la défiscalisation (partielle) de la succession.
  • Ils forment une épargne d’un genre particulier. Particulier car il faut patienter avant de mesurer les effets positifs (si tant est qu’ils le soient) des placements effectués. On est loin du trading frénétique, même au plus fort des positionnements en UC. Côté fiscalité, les avantages surviennent à partir de huit ans environ. 

L’une de ces perspectives vous intéresse ? Il convient maintenant d’identifier l’assurance-vie en accord avec votre capacité financière. Quelles sont les différentes options à examiner ? Quels sont les avantages et les inconvénients de cette solution d’épargne ? Il est temps d’approfondir ces questions.  

Comment choisir son assurance-vie ? Quelques critères à retenir

Si vous avez déjà eu l’occasion de parcourir nos contenus, vous avez pu constater que nous n’abordons pas uniquement la rentabilité (potentielle) des opérations. Même si cette dernière reste cruciale, d’autres points de réflexion sont à mettre en perspective. Par exemple, la qualité du service client, ou encore la vitesse de traitement

Commençons par un critère pour choisir une assurance-vie qui revient systématiquement : la fiabilité et la réputation du groupe concerné.

La réputation et la fiabilité du groupe qui propose l’assurance-vie

Aucun domaine n’échappe aux risques d’arnaque. À ce titre, les assurances-vie ne font pas exception. Avant d’engager la moindre somme, il faut se montrer très vigilant(e), et mener quelques vérifications. 

Epargne-Facile s’applique à contextualiser chaque contrat d’assurance-vie présenté. Nous étudions les origines de l’offre, identifions d’éventuelles filiations avec des groupes reconnus, etc. Il s’agit d’écarter à tout prix les modèles frauduleux.

La consultation des avis clients semble judicieuse également. Avec un bémol : certains utilisateurs manquent de recul et laissent leurs frustrations (suite à une perte en capital, par exemple) l’emporter sur la rationalisation. Cela peut se comprendre ; notre rôle consiste justement à prendre la mesure de ces retours par une confrontation avis les commentaires positifs.

En résumé :

  • N’opérez aucune transaction sans procéder à une vérification.
  • Tournez-vous uniquement vers les compagnies agréées, dont la légitimité peut être attestée.
  • N’hésitez pas à consulter nos pages : nous mettons uniquement en avant des produits d’épargne sécurisés.

    Les supports d’investissement

    L’éventail des supports d’investissement disponible compte aussi parmi les facteurs importants. Ils présentent des opportunités particulières. Le degré de risque s’avère également plus élevé selon la nature de ces leviers. 

    Parmi les plus répandus, on peut citer…

    Les fonds en euros 

    Le fonds en euro est un produit d’assurance-vie qui, contrairement aux unités de compte, s’accompagne de certaines garanties. 

    Le capital investi, en l’occurrence, ne peut pas faire directement l’objet d’une perte. En revanche, il est indirectement possible pour un(e) assuré(e) de se retrouver en déficit, y compris dans cette catégorie, relativement au « jeu » des frais appliqués. Nous y reviendrons. 

    Toujours est-il que le rendement du fonds euros, comme on l’appelle aussi parfois, donne un indice intéressant des opportunités que présente tel ou tel contrat. Sachant qu’il faut quand même se méfier des raccourcis. Les performances enregistrées pour une année ne permettent jamais de prédire celles des bilans suivants. 

    Sur un plan plus technique, le fonds euro témoigne en principe d’une bonne liquidité ; sous réserve des pratiques propre à chaque assureur (certaines structures sont plus « réactives » que d’autres au moment du rachat par les souscripteurs). 

    Pour finir, mentionnons les pistes de défiscalisation esquissées par ce support d’investissement. On pense ici aux abattements, aux taux réduits… sachant que pour être avantageuse, cette stratégie invite à patienter un certain temps.

    Les unités de compte

    Les unités de compte ont une nature moins rassurante, mais aussi plus dynamique. Elles sont composées de plusieurs actifs, parmi lesquels on retrouve des actions, des obligations, ou encore des titres liés à l’immobilier (SCPI, SPI…). 

    Celles et ceux qui disposent d’une marge financière limitée doivent approcher cette possibilité avec précaution. Le capital investi est ici sujet à des fluctuations. Des fluctuations qu’il n’est jamais possible d’anticiper avec certitude. 

    Comme souvent dans le domaine de la finance, la prise de risques s’accompagne d’un potentiel de rendement plus élevé. Sachant que les épargnants ne sont pas tenus de tout gérer par leurs propres moyens. Au contraire, en 2024, la gestion pilotée est une tendance marquée. Elle consiste à déléguer les prises de position aux conseillers opérant pour l’organisation. 

    Le rachat des unités de compte laisse envisager une fluidité plus modérée. Sachant que dans ce cas, la garantie en capital n’est pas appliquée. Certains garde-fous peuvent être mis en place (par exemple, la définition d’une limite de perte). En revanche, une diminution directe de la somme initialement versée fait partie des éventualités. 

    Là encore, certains exploitent les UC afin d’obtenir des allègements fiscaux. On notera, à ce propos, que les gains réalisés ne font l’objet d’aucune imposition tant qu’ils n’ont pas été retirés. 

    Les véhicules d’investissement immobiliers (focus sur les SCPI)

    En principe, ce support d’investissement est « inclus » dans les unités de compte. Puisque ce sont les plus courantes, focalisons-nous sur les SCPI, ou sociétés civiles de placement immobilier.

    Pour être exact, un souscripteur va acheter des parts dans les sociétés en question. Des sociétés qui, elles-mêmes, détiennent et assurent la gestion de différents biens fonciers.

    Les rendements sont rendus possibles grâce aux loyers perçus. Ce n’est pas tout : la valorisation des parts joue également un rôle. 

    Il faut savoir que la liquidité reste limitée. La revente des parts n’a rien d’automatique. Elle n’est possible que si un acquéreur est intéressé. Pour ces raisons, les gestionnaires s’appliquent à bien connaître et étudier le marché de l’immobilier. 

    Les produits financiers (actions, obligations) et leurs réplications (ETF)

    Comme nous l’avons déjà expliqué, les unités de compte font la part belle aux opportunités financières. Ainsi, parmi leur constitution, on retrouve des produits d’investissement variés.

    • Les actions, affichant par nature une certaine volatilité, laissent augurer des rendements relatifs aux performances des marchés boursiers.
    • Les obligations s’apparentent à des titres de créance ; ces derniers proviennent d’une entreprise, d’une entité gouvernementale ou d’un organisme. Ancêtre du « crowdfunding », cette mécanique permet aux structures de lever des fonds. En retour, les investisseurs peuvent espérer la perception d’intérêts – on les appelle, dans le jargon financier, des « coupons ». La volatilité n’est pas exclue ; elle est cependant moins prononcée.
    • Les ETF (exchange traded funds) ou trackers touchent au cœur de la spéculation. Tout repose sur la réplication des indices, un peu comme si l’on parait sur les tribulations boursières. Cela n’empêche pas la vue à long terme, et donc l’intégration à un contrat d’assurance-vie. D’ailleurs, les assureurs y voient l’occasion d’étoffer leur offre. Les ETF sont synonymes de diversification.
    • Les produits structurés ouvrent la porte à des mouvements plus complexes ; ils combinent des instruments. On peut parler d’une « formule sur mesure ». L’évolution des sommes versées dépend alors de la « santé » des divers produits financiers. 

    D’autres supports d’investissement existent, à l’instar des private equity (on investit alors dans des entreprises qui n’ont pas fait leur entrée en bourse) ou des commodités (focalisation sur les matières premières). 

    Le nombre d’actifs financiers disponibles, par exemple celui des ETF, peut orienter celle/celui qui cherche une assurance-vie.

    L’expérience utilisateur

    L’expérience utilisateur n’est pas à négliger. Pour la définir, on se posera les questions suivantes :

    • Est-il facile de naviguer à travers les différents menus du site internet ? Puis-je accéder de manière organique à mon historique ?
    • Comment fonctionne le service-client de cet assureur ? Est-il facile de contacter un conseiller ? Quels sont les moyens de contact proposés ?
    • Les transferts sont-ils opérés rapidement ? Si je procède à un rachat, notamment, devrai-je attendre longtemps ? 

    Ces « points de contrôle » ne sont pas anecdotiques. Une interface confuse ou une équipe difficile à joindre peuvent avoir un impact sur la bonne marche des opérations. Rappelons qu’un capital est en jeu – on ne saurait laisser trop de place à l’approximation ! 

    Prudence : une jolie présentation n’est pas forcément synonyme d’honnêteté. Certains escrocs vont donner l’illusion d’un comptoir brillant pour procéder à de véritables détournements. Cette nuance mise à part, la fluidité de la consultation et la vitesse de réaction restent des facteurs non-négligeables. 

    Les frais 

    L’importance des frais appliqués par les assureurs est régulièrement sous-estimée.

    Et pourtant. Les frais de gestion, par exemple, impactent la « sécurisation » du fonds euro. Si le capital en tant que tel est préservé, on peut perdre une partie de son placement au regard des montants ainsi prélevés.

    Naturellement, chaque compagnie est tenue d’observer une pleine transparence. Avant de signer le contrat, vous connaîtrez les prélèvements appliqués.

    De nos jours, les frais d’arbitrage, les frais d’entrée et de sortie se font rares. Pour rester compétitif, les prestataires préfèrent y renoncer. 

    Afin d’évaluer la rentabilité de votre épargne, il convient surtout d’observer…

    • Les frais de gestion des fonds en euros, justement. Ils dépassent rarement la barre des 1%. Certaines assurances vont les limiter à 0.60%, tandis que d’autres les hisseront à 0.80% ou 0.85%.

    Les frais de gestion des UC. Ceux-ci peuvent être plus élevés, atteindre voire dépasser les 1%.